Aller au contenu

Page:About - Le Nez d’un notaire, coll. Nelson.djvu/161

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
V
GRANDEUR ET DÉCADENCE



M. L’Ambert rentra dans le monde avec succès ; on pourrait dire avec gloire. Ses témoins lui rendaient très ample justice en disant qu’il s’était battu comme un lion. Les vieux notaires se trouvaient rajeunis par son courage.

— Eh ! eh ! voilà comme nous sommes quand on nous pousse aux extrémités ; pour être notaire, on n’en est pas moins homme ! Maître L’Ambert a été trahi par la fortune