Page:About - Le Nez d’un notaire, coll. Nelson.djvu/173

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avait conduites aux ventes des riches mobiliers, et elles dissertaient fort agréablement sur les émeraudes de mademoiselle X… et les perles de mademoiselle Z… L’aînée, mademoiselle Irma Steimbourg, copiait avec passion les toilettes de mademoiselle Fargueil ; la cadette avait envoyé un de ses amis chez mademoiselle Figeac pour demander l’adresse de sa modiste. L’une et l’autre étaient riches et bien dotées. Irma plut à M. L’Ambert. Le beau notaire se disait de temps en temps qu’un demi-million de dot et une femme qui sait porter la toilette ne sont pas choses à dédaigner. On se vit assez souvent, presque une fois