Page:About - Le Nez d’un notaire, coll. Nelson.djvu/253

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venait pas ! On l’avait mandé d’urgence ; on avait envoyé chez lui, à son hôpital et partout. Il arriva pourtant, et comprit à première vue que Romagné était mort.

— Je m’en doutais, dit le notaire avec un redoublement de larmes. Animal, coquin de Romagné !

Ce fut l’oraison funèbre du malheureux Auvergnat.

— Et maintenant, docteur, qu’allons-nous faire ?

— On peut trouver un nouveau Romagné et recommencer l’expérience ; mais vous avez éprouvé les inconvénients de ce système, et, si vous m’en croyez, nous reviendrons à la méthode indienne.