Page:About - Le Nez d’un notaire, coll. Nelson.djvu/43

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Drouot, les autres remontent l’escalier qui conduit par une galerie découverte à la rue Lepeletier.

Vers le milieu du passage découvert, au bout de la galerie du Baromètre, Alfred L’Ambert fumait un cigare et attendait. À dix pas plus loin, un petit homme rond, coiffé du tarbouch écarlate, aspirait par bouffées égales la fumée d’une cigarette de tabac turc, plus grosse que le petit doigt. Vingt autres flâneurs intéressés piétinaient ou attendaient autour d’eux, chacun pour soi, sans nul souci du voisin. Et les chanteurs traversaient en fredonnant, et les sylphes mâles, traînant un peu la savate, passaient en boitant, et, de