Page:About - Le Nez d’un notaire, coll. Nelson.djvu/89

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— Parlez, que diable ! ma fortune est à vous ! Ah ! docteur ! plutôt que de vivre défiguré, j’aimerais mieux mourir.

— On dit cela… mais, voyons ! où est le morceau qu’on vous a coupé ? Je ne suis pas un champion de la force de M. Velpeau ou de M. Huguier ; mais j’essayerai de raccommoder les choses par première intention.

Maître L’Ambert se leva précipitamment et courut au champ de bataille. Le marquis et M. Steimbourg le suivirent ; les Turcs, qui se promenaient ensemble assez tristement (car le feu d’Ayvaz-Bey s’était éteint en une seconde), se rapprochèrent de leurs anciens ennemis.