Page:Abrantès - L’exilé : une rose au désert.djvu/46

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II


— Ne trouvez vous pas qu’Anna paraît souffrante, mon général ? dit Raymond au comte Roverella quelques semaines après cette conversation que nous venons de rapporter… Ses joues sont moins pâles, mais le rouge foncé qui les colore est plus alarmant que leur pâleur… elle est triste… Souvent je la sur-