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Page:Académie française - Recueil des discours, 1860-1869, 1re partie, 1866.djvu/515

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OCTAVE.

Allez ! et bon espoir !
Moi, j’écris à ma sœur !

(Maurice remonte vers M. Dubreuil.)

THÉRÈSE, (à Octave).

Pourquoi ne pas la voir ?

OCTAVE., (vivement)

La voir ? non !

(Se remettant)

Si Delmas,… tu sais,… ce jeune artiste,
Vient me chercher,… je suis chez lui !

(Il sort.)

THÉRÈSE
Qu’il a l’air triste !

(Elle sort après lui, pendant que Maurice et M. Dubreuil descendent en scène.)



SCÈNE III.


DUBREUIL, MAURICE.
MAURICE.

Mais je l’aime, monsieur !

DUBREUIL.

Oh ! parbleu ! je vous croi !