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Page:Achille Essebac - Luc.djvu/256

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XXXI

Nine ne pense pas au delà… Elle demeure sur cette angoissante sensation : Luc passe auprès d’elle…

. . . . . . . . . . . . . . . . . . .


Luc est passé. L’angoisse, terrible, cette fois, après la joie, s’exalte jusqu’à la torture physique. Lucet lui ta dit des mots brefs, tout bas, avant de partir, en lui accordant, une fois encore, à la dérobée, ses lèvres qu’il voulait presque refuser. Il n’en a pas eu le courage. Elle est sa maîtresse ; à sa vue, sa chair s’abandonne à Nine… quand même !…

Mais après son départ, tout de suite inquiète ; Jeannine s’en fut à la bibliothèque de son père dontl’accès ne lui est plus guère défendu depuis qu’elle grandit.