Page:Action, revue vol 1, no 4, 1920.djvu/26

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Après de longs mois de repos et de maladie en pleine Suisse austère, je rvenai À mon ni, rand de déire parisiens, L'Atlante m'en voulut inonder, mamenant d'un coup Carco et Apalinaire. Pour une mo gap al à lb je ea, 'inuNoans vents dote pate 196469 de Montmartre, j'avais adjoint à tant d'inconm, doux tempérament un Rate ui ei un jeune pente français qui rspanait avec élégance à front où avait recu re et trouvé envers les Hommes de la bonté fraternelle. 2 conv werstion s'engagea mal,

dise a et au re ro et se san late à À call d'Apoinair, wa de l'une et

antibelliciste. Apt Fo és Sa ‘que l'an tai ailieurs et à

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AE den Paie, Le grand nom de Bar

Se ésmpos sition estivale où la chaleur et les froises nous

faisant glier, nous réveil < teurs. se té

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rer surune alt las Prat en Plant par ob, sous es beniages,

ets e à goutte jeune, si précieuse à tous les armou- cs

très personnel, je détournai les fureurs publiques que dit lents 2 co ae interprête. J'avais une autorisa- tion-un peu scabreuse à solliciter d'Apollinaire.

Quelques semaines auparavant, dans un ennuyeux jardin de La

ce DV a mea, Po A nant pu silent javais bein de er l'auteur de VEN ie parmi les ientés oliq

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saute hypothèse ui pa. RE sr Se dE ms me qui était eamérier secret de Pie IX; avec chevalerie il mentionna un di