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Page:Adam - Irène et les eunuques, 1907.djvu/360

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IRÈNE ET LES EUNUQUES

ment la « pensée de la très pieuse Irène ». On attribuait à son génie la conception de ce pacte grandiose qui scellerait l’union des deux mondes, qui ressusciterait au total l’empire de Constantin le Grand. Et cela pour la gloire de l’enfant près de naître dans le lit de la jeune Théodote, maîtresse des Romains, fécondée par l’amour d’un prince séduisant et courageux que secondaient les prières de Sainte Marie d’Arménie, en son cloître.