Page:Adam - L’Enfant d’Austerlitz (1901).djvu/474

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rentrer les créances, et amortir les emprunts de la Compagnie Héricourt. Passé ce temps, et à moins de catastrophes, la fortune de la famille sera solidement, amplement constituée sur des assises durables. En récompense de son aide, Augustin se flatte de réunir dans son ménage, deux parts de la Compagnie Héricourt. Il a jugé facile pour un général bien fait, qui ne compte pas quarante ans, de tourner la tête à notre petite étourdie. Cette union lui donnerait la haute main sur toutes les affaires de la Banque, des Moulins et des Charbonnages. C’est à quoi il convient de s’opposer… Tu dois avertir la tante Cavrois…