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– Vous n'avez pas, Cousin, j'espère, l'intention d'épouser ces filles.
– Pourquoi ?
– Leur bisaïeul, vous le savez, coupait les têtes pour trente-cinq sous, au temps de la première révolution sur la grand'place d'Arras. Il était le suppôt du sanguinaire sans-culottes Joseph Lebon.
– Oh, il y a bien longtemps; elles ne sont pas coupables des fautes du bisaïeul.
- Qu'est-ce, Monsieur ? cette morale ? Je vous ferai enfermer comme fou si jamais vous avez le malheur.
– Oh, oh!