Page:Adam - La glèbe, 1887.djvu/99

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Son regard est saisi par les ailes blanches des canes, par les fleurs blanches des troènes, par la jupe blanche qui s'accroche aux ronces et aux pierres. Et ces blancs dardés le lacèrent, l'exaspèrent.

Enfouie sous l'eau boueuse, la jupe blanche ne l'éblouira plus de ses allures jolies pour le mener ensuite à la douleur, au vin.

Il chancelle et titube sur le fumier craquant. Cette ivresse l'enrage contre elle qui la lui valut. De toutes forces il secoue la chevelure magique à son poing liée.

II avance avec le corps qui cède et qui glisse sur les grés lisses. Puis