Page:Adelsward-Fersen - Notre-Dame des mers mortes (Venise).djvu/261

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
249
L’HEURE DU BERGER

moi, mais l’un des deux va partir. Grand Père, écris lui… Ce M. Siorzi sait son adresse. Je voudrais tant…

Le marquis n’a pas la force de la contredire. Il se raidit contre les larmes, parce qu’elle pourrait l’entendre pleurer. Il va s’asseoir au bureau de bois de rose où jadis ont séché les fleurs de Jacques, écrit la lettre qu’il lit ensuite, tout haut, à Ninette.

Et cependant un accord de guitare arrive… comme un baiser, comme un adieu…

22