’ponsabilité ; remarques et explication). Le panthéisme et l’orthodoxie : ni, 1322-33.
Et le Syllabus : iv, 1 569-82. — Exposé : 1, 723.— Condamnation : 1, 722-3. — Réfutation : 1, 725, 726, 943, 944—5, 950, 951, 985, 1018-90. — Et les conceptions diverses du dogme : 1, 1127, 1128, 1175, 1176.
— La distinction entre Dieu et le monde niée par l’immanence : ii, 574-5. — Et le miracle : 11, 1405-6.
— Spinoza. Contre le miracle : iii, 523-4- — El la théorie hégélienne de l’Etat : 1, 153g.
De Lao-tse, philosophe chinois taoïste : 1, 526. — Etle védisme : ii, 645. Voir Védisme. — Le Yoghisme ou divinisation de l’âme par le recueillement intérieur : iv, 1979-82. — Et l’origénisme : iii, 1244-5, 1347, 1 256. — Et l’idéalisme : ii, 554- — Conséquence du kantisme : 1, 758. — Et le monisme : ni, 878-929.
— Et le monisme matérialiste d’Hæckel : ni, 501-2, 503-4, 509-10. — Et le pragmatisme : iv, 147-8, 14951, 168-9. — Etle modernisme : 111, 639, 651, 652-3, 655-8. — Critique. Subconscient et inconscient : iv, 1507-52. Voir Subconscient. — Panthéisme des sectes origines de la libre pensée : iii, 1866. — Et la théosophie : iv, 1661-2. — De G. Bruno : 1, 431-2.
Voir Immanence (Doctrine) ; Immanence (Méthode ) ; Spinoza ; Tchou-hi.
Papauté et papes. — Article : ni, 1333-53/|. — I. Primauté diî S. Pierriî dans lb Nouveau Testament. — i° La place de Pierre parmi les apôtres. Pierre était le premier. Le Christ n’a pas exclu toute primauté : iii, 1 333-g. — 2 Le texte « Tu es Petrus ». Authenticité. Historicité. Signitication. Valeur démonstrative : in, 1339-66. — 3° Les autres textes évangéliques. Le texte Confirma fralres tuas (Luc, xxii, 31, 32) Le texte Pasce oves meas (Jean, xxi, 15-17) : UI » 1 366-8. — 4° Les Actes et les E pitres. Actes. Epîlres apostoliques (Y. db la Bribrk) : ni, 1368-71. — II. Lbs Origines db la Papauté. — 1° //e siècle. Premiers actes du pontificat romain : 111, 1 37 1 -4 - — 2* IIIe siècle. Influence universelle de la Papauté. Carthage (conflit entre S. Cyprien et le pape Etienne). Alexandrie (Origène et S. Denys). Antioche : iii, 1374-84. — 3° fV « et Ve siècles. Le schisme donatiste (concile d’Arles), L’arianisme (concile de Nicée). Conciles du iv* et ve siècles. L’Eglise grecque (S. Jean Chrysostome). L’Eglise syriaque (S. Ephrem). L’Eglise latine (S. Jérôme et S. Augustin). Les papes S. Célestin, S. Léon, S. Hormisdas (A. d’Alks) : iii, 1384-8. — III. Rôle historique de la papautk. La Papauté de Constantin à Charlemagne. De Charlemagne à S. Grégoire VII. De S. Grégoire VII à Boniface VIII. Les papes des xive et xve siècles. La papauté en face de la Réforme protestante. Les papes et la politique moderne ; le xvhe siècle. Les piipes du xvm’siècle et les préparatifs de la Révolution. La Papauté au xix n siècle. Objections contre l’action moderne de la Papauté. Conclusion (G. NaynoN) : 111, 1388-423. — IV. Infailliiulitk pontificale. — 1° Sens du dogme. Explication de l’infaillibilité pontificale d’après la définition et les actes du concile du Vatican. Ce que n’est pas l’infaillibilité pontificale : iii, t422-34- — a" Adversaires. Ceux qui rejettent tout magistère infaillible. Ceux qui rejettent l’infaillibilité spéciale du pape (schismntiijues orientaux ; gallicans) : ni, 1 434-6- —
3° Développement historique de la controverse entre catholiques sur l’infaillibilité du pape, i" époque : Les origines ; le Grand Schisme et le xve siècle : iii, 1436-44- — 2e époque : La décadence de l’anti-infaillibilisme au xive siècle. Universités. Théologiens : m, 1444-6. — 3° époque : Le retour de l’anti-infaillibilisme au xvne siècle. L’initiative de Richer (théorie du Libellus ; accueil fait aux Libellus dans l’Eglise de France ; résultats de l’initiative de Richer). La déclaration de 1682 (la marche du gallicanisme et la défense de l’infaillibilité pontificale jusque dans les débuts du gouvernement personnel de Louis XIV ; les événements de 1663, prélude de ceux de 1682 ; la Déclaration de 1682, et spécialement son 4° article sur l’infaillibilité du pape ; suites de la Déclaration de 1682) : ni, 1 446-85. — 4e époque : La crise aiguë des « Appelants » et des Parlements de Louis XV, avec ses conséquences jusqu’au concile du Vatican. Première lutte contre la Bulle Unigenitus . Usurpation des droits épiscopaux et royaux par le Parlement de Paris. Ce que devient en France la doctrine de l’infaillibilité. L’écho à l’étranger des manœuvres parlementaires et de la crise ultragallicane sous Louis XV (Hollande ; Russie ; Autriche et Allemagne ; Italie). Conséquences de cette crise en France, après Louis XV. Progrès de l’infaillibilisme dans le monde catholique dès le pontificat de Pie IX. Le Concile du Vatican : ni, 1 485-53 1. — 4° Récapitulation des principales preuves de l’infaillibilité pontificale, et principales objections (S. Harbnt) : m, 1531-4.
— Primauté de S. Pierre. — Voir ci-dessus, § Article ; Pierre (S.).
— Primauté du pape. — Intervention du pape dans le monde ecclésiastique rare au début, et de plus en plus fréquente : iii, 13-4. — « Romanité », note de l’Eglise ? : 1, 1278-9. — Primauté du pape dans l’Eglise primitive : 1, 1265-6. — Et l’inscription d’Abercius : 1, 1 436, 1437, 1 438. — Prééminence de la thèse de l’Eglise de Rome dans la question du baptême des hérétiques : 1, 390-417- Voir Baptême, § Baptême des hérétiques. — Recours de S. Jérôme à Damase I er au sujet du schisme d’Antioche : iv, 1946, 1947. — La papauté et les premiers conciles œcuméniques : 1, 594-607 ; iii, 1387-8. — Conciles œcuméniques et infaillibilité pontificale : utilité des conciles : ni, 1533-4. — Schisme d’Orient. Histoire de l’Eglise grecque : ii, 344-96 (spéc. 350-4, 356-7, 380-i, 384-5, 387, 389, 390-1). Voir Grecque (Eglise).
— Schisme d’Occident : iv, 1228-41. — Voir Schisme d’Occident. — Le Grand Schisme et la théorie conciliaire : iv, 586. — La primauté du pape et l’épiscopat ou les conciles : ni, 1384-5, 1402, 14 » 3, 14’2.
— L’infaillibilité pontificale et tes controverses gallicanes et jansénistes sur l’autorité des conciles :
in, 1438-9, 1432, 1434-5, 1437-4 ii 1442, 14’14. 14468, 1450, 1453-4, 1458-60, 1462, 1466-73, 1477, 14 « i-4, 1485-93, 1511, 1513, 1515, [527-8, 1533-4. Voir Gallicanisme. — Primauté des conciles selon Savonarole : iv, 1325-6. — Opposition des gallicans et des protestants aux papes (xvi° siècle) : ii, 1881 -3, 1885, 1887, 1889, 1893, 1896-7. — Théories conciliaires de Luther. Réforme, protestantisme : iv, 602, 603-4- — Primauté du pape selon les protestants et Harnack :
