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Page:Adolphe Orain - De la vie à la mort - Tome premier.djvu/117

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— Ah ! revenez, revenez, revenez,
Ma mère a dit que vous m’auriez.

— Qu’as-tu donc, petite sotte ?
Qu’as-tu donc à tant pleurer (bis) ?
— Ce sont mes galants, ma mère,
Que vous avez renvoyés.
— Ah ! revenez, revenez, revenez,
Ma mère a dit que vous m’auriez.

— Ce sont mes galants, ma mère,
Que vous avez renvoyés (bis).
— Va-t’en donc, petite sotte,
Va-t’en donc les rappeler.
— Ah ! revenez, revenez, revenez,
Ma mère a dit que vous m’auriez.

— Va-t’en donc, petite sotte,
Va-t’en donc les rappeler (bis).
J’ai monté sur une butte
Et me suis mise à crier :
— Ah ! revenez, revenez, revenez,
Ma mère a dit que vous m’auriez.

J’ai monté sur une butte
Et me suis mise à crier (bis).