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Page:Adolphe Orain - De la vie à la mort - Tome premier.djvu/122

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Cheminant vers Paris,
Landeri, landera, landeri,
Cheminant vers Paris (bis).

J’ai rencontré trois dames,
Mignon de la goguett’ tout doux,
Qui chantaient à loisir,
Landeri, landera, landeri,
Qui chantaient à loisir (bis).

Ell’s m’ont demandé : — Belle,
Mignon de la goguett’ tout doux,
Que n’chantez-vous aussi ?
Landeri, landera, landeri,
Que n’chantez-vous aussi (bis) ?

— Comment donc chanterais-je ?
Mignon de la goguett’ tout doux,
J’ai perdu mon mari,
Landeri, landera, landeri,
J’ai perdu mon mari (bis).

Il eut les grand’s coliques,
Mignon de la goguett’ tout doux,