Page:Adolphe Orain - De la vie à la mort - Tome premier.djvu/124

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Pas mal riche et jouli,
Landeri, landera, landeri,
Pas mal riche et jouli (bis).

Qui m’fît porter la bourse,
Mignon de la goguett’ tout doux,
Et la culotte aussi !
Landeri, landera, landeri,
Et la culotte aussi (bis) !

Qui n’but point trop d’chopines,
Mignon de la goguett’ tout doux,
Ren qu’en nout’ compagnie,
Landeri, landera, landeri,
Ren qu’en nout’ compagnie (bis).

Qui n’battît point sa femme,
Mignon de la goguett’ tout doux,
Comm’ nout’ défunt mari,
Landeri, landera, landeri,
Comm’ nout’ défunt mari (bis).

Dites-ma donc, les filles,
Mignon de la goguett’ tout doux,