Page:Adolphe Orain - De la vie à la mort - Tome premier.djvu/77

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— Mad’moiselle, cela s’adresse à vous,
Ne somm’s-nous pas cousins cousines,
Ne somm’s-nous pas cousins tretous ?
— Entrez dans la danse :
Ne somm’s-nous pas cousins cousines,
Ne somm’s-nous pas cousins tretous ?
— Fait’s la révérence :
Ne somm’s-nous pas cousins cousines
Ne somm’s-nous pas cousins tretous ?
— Choisissez qui vous voudrez :
Ne somm’s-nous pas cousins cousines,
Ne somm’s-nous pas cousins tretous ?
— Et embrassez-vous !
Ne somm’s-nous pas cousins cousines,
Ne somm’s-nous pas cousins tretous ?

— Où allez-vous, la mèr’ boiteuse ?
Mir lon fli, mir lon fla.
— Je vais au bois céleste,
Mir lon fli, mir lon fla.
— Quoi faire au bois céleste ?
Mir lon fli, mir lon fla.
— Cueillir la violette,