dans la crainte que des personnes aient été oubliées dans les invitations faites par la famille ; pour ceux de 3e classe, c’est parce qu’il n’y a pas d’autres invitations que celle du crieur public. Et quant aux enterrements de 2e classe, ils ont la ressource des lettres de faire part et des avis dans les journaux.
À la mort de quelqu’un, l’on arrête toutes les pendules qu’on ne remet à marcher que quand le corps est sorti de la maison.
On vide l’eau des vases, dans la crainte que l’âme n’aille s’y noyer.
Il n’y a pas très longtemps, quand un fermier ou sa femme venait à mourir, on recouvrait d’un crêpe les ruches d’abeilles dans le courtil.
Ces laborieuses bestioles, qu’on appelle des Avettes, étaient considérées comme faisant partie de la famille.