Page:Adrienne Durville, Carnet de guerre 1914-1918 n°4.pdf/97

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n’avons qu’à nous louer de lui. Sa sécheresse des premiers jours n’est plus qu’un souvenir et je crois qu’il sera aussi agréable que possible.

Je lis et j’écris toute la journée.

Lundi 24 mai

Le docteur me promet la liberté pour demain ; je me sens tout à fait remise ; ce n’est que pour éviter la contagion possible que je suis encore enfermée.

Lettre de Chambéry ; Renée doit aller à Grenoble pour une opération ; laquelle ? pourquoi ne m’a t-on rien dit de Paris ?

Trouttet demande à me faire ses adieux.