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L’ILLUSTRE MAURIN

 

— C’était des mûres qu’elle mangeait,
Mon Dieu, mon ami !
C’était des mûres qu’elle mangeait !

— N’y a plus de mûres en automne,
Morbleu, Marion !
N’y a plus de mûres en automne !

— C’était un’ branch’ qui automnait,
Mon Dieu, mon ami !
C’était un’ branch’ qui automnait !

— … Eh bien, j’te couperai la tête,
Morbleu, Marion !
Eh bien, j’te couperai la tête ! »