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III
AIMER-PENSER.
œur naïf ! j’avais cru pouvoir à tous les yeux
Dévoiler mes douleurs comme en face des cieux,
Et trouver pour mon âme une âme,
Une seule parmi la foule des humains,
Un inconnu qui vînt me prendre les deux mains,
Un seul amour d’homme ou de femme !