Page:Aicard - Notre-Dame-d’Amour, Flammarion, 1896.djvu/167

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n’aimait pas encore, mais qui lui plaisait bien, et du cheval de la ferme de la Sirène, dont il désirait se rendre maître.

Sur la petite, la vieille Pastorel n’avait dit que de bonnes choses :

— C’est une fillette sage. A la bonne heure ! En voilà une que tu ferais bien de demander ! il n’est pas bon qu’un homme soit seul. Oh ! si, avant de mourir, je pouvais voir un fils de mon fils, je bénirais la vie, en la laissant recommençante derrière moi !

Quant au cheval, la musique avait été autre :

— Le métier, véritablement, est assez dangereux, sans aller chercher, par plaisir, des bêtes de mort ! Laisse-moi ce cheval tranquille, c’est quelque sorcier peut-être ! Le prenne qui voudra ! La fille d’Augias, oui, — mais son cheval, non ! Entends-tu, Jean ?

— Mais… dompter le cheval, ma mère,