la fin de chaque grande période, c’est-à-dire après des oscillations d’une durée de plusieurs siècles, tous les astres qui composent notre système se retrouvaient à leur place, sans altérations et sans changements, comme aux premiers jours de leur création !
Voici donc une pensée conservatrice, une prévoyance divine, une cause finale géométrique, mise à la place du désordre apparent des planètes et du soleil ! quel poids dans la balance religieuse qu’une telle découverte sortie d’une école accusée d’athéisme !
Le livre qui la renferme n’a pas six lecteurs en Europe. Uniquement composé de chiffres, il ne pouvait ni trouver place dans notre catalogue ni manquer à notre travail ; c’était d’ailleurs la préface nécessaire de l’exposition du système du monde, ouvrage capital du même auteur, et que nous avons recueilli !