Page:Aimard, Auriac - Le Mangeur de poudre.djvu/202

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Je viens voir, vous savez si tout est en ordre dans vos appartements, suivant l’habitude, et vous apporter votre déjeûner.

— Merci, M. Perkins ; mais, souffrant comme je suis, je vous saurais un gré infini de ne pas troubler longtemps mon repos.

— Parfaitement juste ! mon gentleman, parfaitement juste ! aussi, vais-je donner mon petit coup d’œil rapidement : ce sera fait en un tour de main.

Et Perkins fit un pas en avant.

Dudley serra la poignée de son pistolet en lui disant :

— Vous êtes matinal, aujourd’hui, M. Perkins.

— C’est qu’avec M. Hung, le maître de poste, Smith et quelques autres gentlemen, nous devons faire aujourd’hui une partie de chasse dans la forêt de Right-Road ; on y a vu ces jours-ci un daim énorme.