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les forestiers du michigan
CHAPITRE II
un cri de mort
Ce nom n’était pas tout à fait inconnu à Veghte, mais, pour le moment, il lui aurait été impossible de se rappeler le lieu ni l’époque où il l’avait déjà entendu.
À la fin il crut se souvenir que le propriétaire de ce nom avait voyagé avec lui, deux ans auparavant, sur les bords du lac Saint-Clair, et qu’en cette circonstance, ayant été pourchassés par un détachement de Chippewas, ils avaient eu toutes les peines du monde à leur échapper.
– C’est bizarre que je ne vous aie pas reconnu ! dit-il enfin en souriant et lui tendant la main ; il me semblait bien que j’avais entendu votre voix