Page:Aimard - Le Grand Chef des Aucas, 1889.djvu/129

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Ces quatre musiciens, non contents du tapage qu’ils produisent, hurlent à pleins poumons des chansons.

Alors les couteaux sont tirés de la polèna, les ponchos roulés autour du bras gauche pour tenir lieu de bouclier ; la musique se tait, ou fait cercle autour des combattants, puis, quand l’un des deux est tombé, on le porte dans la rue, la musique reprend, la danse recommence et l’on n’y pense plus.