Aller au contenu

Page:Aimard - Les Bohèmes de la mer, 1891.djvu/127

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.


Les aventuriers s’affalèrent le long des rochers et descendirent sur la plage.

des Hyéronimites, où, comme vous le savez, sont élevés la plupart des gentilshommes.

Mon père, quoiqu’il se montrât fort sévère pour ce pauvre enfant, surveillait cependant son éducation avec le plus grand soin et semblait s’applaudir des progrès qu’il lui voyait faire. J’allai assez souvent voir Gusman au couvent et causer avec lui ; parfois même, je l’emmenais promener par la ville, ce dont le pauvre abandonné était fort joyeux. Plusieurs années s’écou-