Page:Aimard - Les Trappeurs de l’Arkansas, 1858.djvu/306

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pirates mirent pied à terre, les chevaux furent confiés à quelques hommes déterminés et les bandits s’allongeant sur le sol comme un essaim de vipères, ou bien sautant de branche en branche et d’arbre en arbre, s’avancèrent avec toutes les précautions usitées dans les surprises, vers le camp des Mexicains.