Page:Alanic - Aime et tu renaitras.djvu/278

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Sans hâte, avec une infinie délicatesse, comme s’il eût cueilli une fleur, Armand Fabert prit la douce main pendante, et la porta vers ses lèvres.

— Depuis toujours ! murmura-t-il avec ferveur. Et, que vous le vouliez ou non, à toujours ! Croyez en moi !

Deux larmes au bord des cils, elle répondit simplement :

— Je crois ! À toujours !


FIN