Page:Albanès,Les mystères du collège,1845.djvu/138

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Firmin à son sommet ; il y avait découvert un nid d’oiseau. Prêt à mettre la main dedans, il était ivre de joie. Tous





les camarades, qui entouraient l’arbre, l’œil fixé sur le précieux dépôt, trépignaient de bonheur. Enfin, Firmin atteint le nid, voit les petits et s’écrie : Ce sont des chardonnerets !!! Une fortune entière aurait été placée à côté du nid, que Firmin n’eût pas fait le plus léger effort pour s’en emparer. Et chacun de s’écrier, au pied de l’arbre : « Tu m’en donneras un, n’est ce pas, Firmin ? — Oui, oui, répondit-il. « Dans son bonheur, il en aurait promis à tout le collège entier… Mais