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DU COLLÈGE.

tombent, et vous vous affligez !… Mais, corbleu ! c’est mal, très-mal, ça… Ah ! vous souriez, je crois !… Oui, et votre front redevient rayonnant, rayonnant comme doit toujours l’être celui d’un collégien.

Allons, séchez vos larmes, amis, et prenez pour nous lire ce visage riant que vous avez quand, du collège chez vos bons parents ; vous ne faites qu’un bond. Nous voulons que



pendant toute la lecture de ce livre vous n’ayez pas un seul instant de tristesse.

Le diable, c’est que, voyez-vous, sans l’étude, on ne peut, n’importe en quoi, faire ce qu’on appelle des hommes. Et un père se dit sans cesse, Mon Dieu ! que je serais heureux si mon fils était un jour un homme de mérite !

Il n’est pas jusqu’à ce grand homme de Charlemagne qui, lui encore, n’ait voulu conspirer contre vous ! Puisque je vous dis !