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Page:Alexandre Pouchkine - Poèmes dramatiques, Viardot, 1862.djvu/122

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W. ROSEN.

Vous avez raison.

MARGERET.

Diable ! il y fait chaud. Ce diable, de Samoz\anetz, comme il s'appelle, est un brave à trois poils.

w. ROSES.

Oui.

MARGERET.

Eh ! voyez donc, Vaction s'engage sur les derrières de l'ennemi. Ce doit être le brave Basmanoff qui aura fait une sortie.

w. ROSEN.

Je le crois. (Entre une troupe allemande.)

MARGERET.

Ah ! ah ! voici nos Allemands. Messieurs— Mein herr, dites-leur donc de se rallier, et, saçrebleu, chargeons.

w. ROSEN.

Fort bien.—Halte ! (Les Allemands reforment leurs rangs.) Marche ! (Ils se mettent en marche en disant : Que Dieu nous assiste !)

(Bataille. — Les troupes de Boris fuient

de nouveau.)


DES POLONAIS.

Victoire !