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Page:Alexandre Pouchkine - Poèmes dramatiques, Viardot, 1862.djvu/153

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UN AUTRE.

Il y a bien de quoi les plaindre ! race maudite !

LE PREMIER.

Le père était un scélérat ; mais ces pauvres enfants-là sont innocents.

LE SECOND.

La pomme ne tombe pas loin du pommier.

XÉNIA.

Frère, il me semble que des boyards viennent à nous.

Féodor..

C'est Golitzine et Mosalskij les autres me sont inconnus.

XÉNIA.

Ah ! frère, le cœur me manque. (Entrent Golitzine, Mosahki, Moltchanoff et Chéréfédinoff, suivis de trois strélitz.)

VOIX DANS LE PEUPLE.

Place, place aux boyards ! (Ils entrent dans la maison. — Féodor et Xénia s'éloignent de la fenêtre.)

UN HOMME DU PEUPLE.

Pourquoi sont-ils venus ?


UN AUTRE.