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Page:Alexis - La Fin de Lucie Pellegrin, etc, 1880.djvu/16

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LA FIN DE LUCIE PELLEGRIN

gnac. Assis près de la fenêtre, en bras de chemise, le garçon, Charles, lisait le Rappel.

On avait très chaud. Aucun souffle ne remuait les feuilles des plantes grimpantes, le long des fils de fer tendus dans la fenêtre. Les visages, comme la gorge et les bras nus des femmes, luisaient. Depuis un moment, personne n’avait rompu le silence. Dans la boutique, par la porte ouverte, on entendait piétiner lourdement autour du comptoir les pantoufles de Victor, servant des consommateurs. Des « À votre santé, mon brave ! » arrivaient, suivis d’un léger choc de verres. Puis, de temps en temps, ce n’était plus que le sautillement, sec et continu, de la bille du tourniquet.