Page:Alexis - La Fin de Lucie Pellegrin, etc, 1880.djvu/76

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
64
L’INFORTUNE DE MONSIEUR FRAQUE

et l’on était allé souper. Quand mademoiselle de Grandval se leva pour communier, M. Fraque la suivit des yeux. Elle marchait la tête basse, les mains jointes, très recueillie. Alors, pour la première fois, cette pensée se formula dans l’esprit de M. Fraque : — « Pourquoi, au fait, ne l’épouserais-je pas ? »

Le lendemain, en s’éveillant, l’idée lui sembla tout à fait saugrenue. Et il n’y pensa plus.