Page:Alfred Franklin - Les ruines de Paris en 4908.pdf/137

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
129
LES RUINES DE PARIS

méa à la nage, force m’est bien de demeurer ici, puisque tous mes marins m’ont abandonné et que l’on a confisqué ma flotte. Je vais en conséquence, enfermer cette dépêche dans une bouteille bien cachetée, je la ferai ensuite jeter à la mer, et le hasard vous la remettra, citoyen ministre, quand et comme il voudra.


Salut et fraternité.


Amiral Quésitor.

9