Aller au contenu

Page:Alfred Vacant - Dictionnaire de théologie catholique, 1908, Tome 2.2.djvu/374

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée
2057
2058
CELES ! IN I’r (SAINT)


t ii. n l.ahi f6, fnm sil

utrumque doDum I « > I qiml iin-1 1 r’ii ii’amu et diligerc n’carltate, acientla non pi II tnflare. Bleui autem de i " crlptujo docet boml iii ni aeli iiii.nn (Ps xi m. 10),

i t (1 Joa., ii, 7).

Carth., ’i Item quinte capitulo Item

ut qulcumque dixerlt : ideo noble gratlam justil mdarl, ut i|uod facere i er liberum jubemur arbitrium, (arilius possiiims Implere pet gratlam ; tanquam, el si gratia n. n ilarctiir, nnn quidem facile, ed tamen poseimue etiam sine illa implere divina mandata, anatbemaait Defructibusenlm mandatorum Dominus loquebatur, obi n"n ait : Sine me difficilius potestia lacère, sed ait : Sine nie niliil potestis facere (Joa., xv, 0). Conc. Carlliag., can. 5

C. vin (ou xi). Præter has autem bcatissima ; et apostolicoe sedis inviolabilea sanctiones, quibus DOS, piissiml patres, pestiferæ novitatis electione dejecta, et bons voluntatis exordia et incrementa probabilium studiorum, et in eis usque in finem irerantiam ad Christi gratiam referre docuerunt ; obsecrationnni quoque sacerdotalium sacranienla respiciamus, quæ ab apostolia tradita, in toto miind" atque in omni Ecclesia catli’.lira nniformiter celebrantur, ut legem credendi statuât lex supplicandi. Cum enim sanctarum plebium prsesules mandata sibimetlegatione fungantur, apud divinam clementiam liuinani generis agunt causam, et tota secum Ecclesia congemiscente, postulant et precantur ut inlidelibus donetur fides, ut idololatræ ab impietatis suce liberentur erroribus, ut 1m retici catholicae fiilei perceptioneresipiscant, utschismatici spintum redi’ivie cantatis ai cipiant, ut lapais psenitentias remédia conlerantur, ut denique catechumenla ad regenerationis sacramenta perductis cælestis misericordioe aula reseratur. Ha.-c autem non perlunctorie neque inaniter a Deo peti rerum Ipaarum monatrat ellectus, quandoi|uidoin ex omni errorum génère plurimoa Dcus dignatur attrahere, quos erutos de potestate tenebrarum, transférât in rcgnuin lïlii caritatis sine (Col. i, 18), el ex vasis Irai facial vasa mieeriii ; ..m., ix, 22). Quod adeo toiuni divini operia esse aentitur, al base efficient ! Deo gratiarom aemper actio laudis que c.nfossio pro illuminai ! ’n. laliuin velcum client reiciaUir.

pour la charité qui

aloii q

.1 n de Dieu, al de onnaltre

I ai’. in| In

n. nfle

i.. m comme U

I lieu : i Ceal lui qui donne la

a i bomme, « ainai, il

rit i.a charité

i. nul île 1 1

Et dan » la S’Conque dira que la grâce de la justification noue i Bl donnée, Beulement, pour quai’aide noua i écuter,

plus facilement, < : e que la li.i

prescrit à notre liberté) comme

si, au cas où la grâce ii’rait refusée, mus pouvions encore, quoique avec moins de facilité, accomplir lea préceptes qu il soi) anathèinelCai

c’est de l’observation des préceptes que parlait le Maitre quand il disait, non pas : Sans moi, vous ferez plus difficilement ; mais : Sans moi vous ne pouvez rien faire.

c. vin. Après ces décrets inviolables du saint-siège apostolique, décrets par lesqu>-b IMS pieux prédécesseurs, rejetant l’adoption d’une nouveauté pernicieuse, nous ont enseigné qu’il faut attribuer à la grâce du Christ le commencement dans la bonne volonté’, le dé i loppement des efforts louables et leur persévérance jusqu’à la liii, examinons les paroles sacrées des prières sacerdotales, que les apôtres nous transmirent, que toute l’Église catholique emploie unit, rméinent, dans tous les lieux du monde, afin que la règle de nos prières établisse la règle de nuire foi. Car, lorsque les évêques des peuples fidèles s’acquittent de l’ambassade qui leur a été confiée, ils traitent, auprès de la clémence divine, des intérêts du genre humain ; et avec toute l’Église qui gémit avec eux, ils demandent, ils supplient que la foi soit accordée aux infidèles, que les idolâtres soient délivrés des erreurs de leur impiété, que les hérétiques, recevant la foi catholique, viennent à résipiscence, que les Bchi ; niatKjues repsivant) esprit Me charité qui les rendra a la le, que les pécheurs prennent de la pénitence, et enfin que les catéchumènes, amenés au sacrement de la ré’Ii’n. voient 6 ouvrir devant eux le palais de la miséricorde céleste Or, les résultats démontrent que ces demandes ne sont pas de vaines cérémonies ni des prières inutiles ; puisque Dieu daigne retirer des

erreurs de toute espèce un grand nombre d’hommes, que,

api’s les a i ir ai rachl s à la

puissance des ténèbres, il transporte dans le n. aume du Fils amour, qu’il transforme île a. en vai se de

miséricorde. Lt cela est telle C iv (on mu tllud etiam quod eirca bl

muiido aani I I

iiinl’.niiiteragil.ii | leioplainur intuitu. Loin sive parvuli sive juvenes ail

neratlonla veniunt sacn

tutu, non prius fbntem vitae adeunt quant exorcismis et exsufiiationibus clericonun ritus ab eis iiiiinundus abigatur : ut tune voie a] pari at

quomodo pi Incepa mundl I

iriiltatiir foras i.loa., XII, 31), et

quomodo prius alligetur

(Mattb.. xii, 29 ;, et de

isdiripianturl.Marc, ni, ’27) in possessionem translata vicions quicaptivamduco înptivitatem (Eph., iv, 8) et dat d"na bominibus (Ps. lxvii, 19).

llisergoecclesiasticii et ex divina sumptis auct documentis, ita adjuvant. Domino conlinnati sumus, ut omnium bonornm aflSacUunn atque operum et omnium atndionim, omniumque virtutum, quibus ab initio fidei ad Deum tenditur, Deum proliteamur auctorem, et non dubitemus ab ip-ius gratia. innia bomhtts mérita praveniri, per quein fit, ut aliquid boni et voile incipiamus et facere iPbil., n. 13). Quo utique auxilio et muncre Dei non auferetur liberum arbitrium, sed liberatur, ut de tenebroso lucidum, de pravo rectum, de Utnguido sanuin, de imprudente sitprovidum.Tanta enim est erga ouiiies homines bonitas Dei, ut nostravel mérita, qua ; sunt ipsius dona ; et pro his, quae largitus est, œterna pranua sit donatorus. Agit quippe in nobis, ut quod vult et velimus et agamus. nec otiosa in nobis esse patitur, qu.e exercenda. non negligenda donavit, ut et nos coopei sinius gratiae Dei. Ac si quid in nobis ex nostra viderimus remissione languescere, ad iUum sollicite recurramus. qui sanat omnes langu. n^ n et rediinit de intérim itam nostram (Ps. eu, 3, a) et oui quotidie dicimus : Ne inducas nos in tentatii’nem, scd libéra nos a malo (Mallb., vt, 13).

c. x « ou xiio. Proftmdii rea

ver., iliflîcilioresqu.

t urrenUom quaBStionum,

mentreeonri iivine,

et des’sont

gne illumini :

C. i Kl le » rites que la

I ! dans lui dans la Collation du ba ne son n spec iæux dont le 6en

pic enfants

ou jeunes hommes viennent au

nent de la ré-génération,

Dtrent danla fontaine de

viequ

et les insufflations des clercs ont chassé l"in deux I immon i il soit bien

i ince de ce monde est jeté dehors, que le fort est auparavant enchaîné, et ses meul

être transféi -té au

vainqueur qui emmène des captifs et fait des largesses aux nommes,

(Conclusion.) Voici donc les convictions que ces définitions ecclésiastiques et ces documents appuyés sur l’autorité divine ont. avec l’aide de Dieu, confirmées en nous : Nous professons hautement que tous les bons sentiments et toutes les bonnes œuvres, tous les efforts et toutes les vertus, par lesquels, depuis le premier début de la foi, nous nous dirigeons vers Dieu, ont vraiment Dieu pour auteur : nous croyons fermement que tous les mérites de l’homme sont i la grâce de celui à qui nous devons et de commencer. loir le bien et de commencer à le faire. Et certes, ce secours et ce bienfait de Dieu ne mus enlèvent pas le libre arbitre ; mais le libèrent, afin qu il devienne, de ténébreux éclairé, de tortueux droit, de languissant d’imprudent avpé. Car, telle est la bonté de Dieu pour tous les hommes qu’il consent à ce que ses dons deviennent m >- mérites, et qu’il veut réc.ini’enser pendant l’éternité, ce qu’il nous a accordé lui-même. Il agit en nous, pour que nous voulions et fassions ce qu’il veut ; il ne Si ai lire pas que nous laissions inutiles en nous les dons qu’il nous a confén s non i « mr les négliger, mais pour les faire valoir, de telle s. rte que nous soyons les co p’rateurs de s.. nous voyons que quelque chose languit en l i’.e de notre relâchement, recourons, avec insistance, à celui qui guérit Uutes les maladies et délivre notre vie de la fosse, à celui à qui nous disons chaque jour : Ne nous induis pat en tentation, mai* délivre-nous du mal.

I. (.niant aux questions plus profondes et plus ardues que soulèvent ces controvi