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H.T-J. t. IV dl
Ai a, 1. ni : // roules l’""f’-"’'" , . Hercule » Commodianus… pro bre, , , , stigmatibus S. i trantla nm, m-8’, Alx, 1066, du P
iud ; son li< rcule » se trouve dans le L xviudi Bel Euvres. Le R. P. de Backer ajoute la diatribe niivanti Epi ola in Jesu super en
ckiani », sire Hercule » Cm’unes Ijjlui
lantiens, repuleu » a /(. P. Thecphilo Raynaudo, ejusd. Soc. redivivu » in P. Danit le Papebrockio, item jetuita : comme, , tu proprio titulo Aclorum sanctorum i évaluante per J. !.. M /L, in-x. Liège, 1687 ; le P. Janning indique une a édition de Liège, 1688 ; Causa conversioni » sancti Brut carthusiani patriarchse. Epistola André » Du Saussay, -H-,
Cologne (Paris), 1645 ; De causa couv rsionis… CUtn responsione Nihusii Bertholdi, 1644-1645, juxta exemplar Colonix editum, in-8% sans autre indication ; Paris, 1646 ; Traité des causes île la conversion de saint Bruno… extrait d’une Épitre dT Antiré, !, , Saussay, évoque de Tout, et de la Réponse de Berth. Nihusiu » imprimée à Cologne, in-4o, Paris, 1650. Ce Traité se trouve aussi parmi les opuscules de Henri Audigier ; II. P. lu. Célumbi dissertatio de cartusianorum initiis, seu quod Bruno adactus fuerit in en ctbus hominis reà
PoTrisiis, qui se accusation, judicatum, damnation, eœclamabat, imprimée parmi les opuscules de l’auteur, in-fol., Lyon, 1664, 1674, et séparément, Lyon ( ?), 1668 ; Jo. Columbi… dissertatio… ad editionem Lugdunensem a. 161b récusa, in-12, Francfort-sur-le-Main, 1748, avec une dédicace du chartreux Michel Môrckens ; c’est plutôt une apologie de la dissertation du P. Columbi avec la relation historique de la controverse ; dom Benoit Tromby a réimprimé la dissertation du P. Columbi dans sa storia, t. i. Un autre jésuite, le 1’. Joseph Cassani, a publié une dissertation en faveur de la réalité de ce fait. Voir sa vie de Denys Rickel, in-8° Madrid, 1738. Le chanoine de Bologne, Hercule-Marie Zanotti, a aussi composé une dissertation dans le même sens. Voir sa vie de saint Bruno, et dom Benoit Tromby, Storia, t. i. Nous signalons deux études manuscrites, qui probablement n’ont pas été connues par les auteurs précédents : 1* Dissertation sur la retraite de saint Bruno, ms. du xviir siècle de la bibliothèque de l’Arsenal, à Paris, n. 334, B. F. ; 2o Discurso criticohistorico de los verdaderos motivas que pudo tener son Bru, , , , para retirarse al decierto y fundar la religion carlusiense. que fundo (par Paul Ignace de Dalmases y Ros), ms. du xvifxvin e siècle, in-4o, de la bibliothèque publique de Païenne, 2 Aq. f D. 38.
La controverse des Sermons attribués à saint Bruno est aussi ancienne que la 1e édit.on de ses Œuvres complètes, faite à Paris, en lô’Ji, par Josse Badius. Nous croyons que ce ne fut pas sans raison que dom Pierre Cousturier (Sutor), savant chartreux de Paris, auteur des deux livres, De vita cartusiana, Paris. 1522, après avoir énuméré les commentaires de saint Bruno sur les Psaumes et sur les Épitres de saint Paul et ses Lettres ad diversos, ajoute : Alla autem ipta needum ad notifia
stram pervenerunt. Il ne connaissait donc pas les manu d’après lesquels, deux ans après, on attribua au fondateur des chartreux les sermons qui étaient presqui d homonyme
saint Bruno, bénédictin, évêque de Segnl. Tromby, dom Le Couteulx et les bollandiates professent à ce sujet des opinions différentes. Nous suivons le sentiment des bollandistes. Treuil >. Storia, t. ii, p. 243, note, re] i un chartreux
iitain. dom Janvier De Simone (+ 1689), pour attribui sermons a saint Bruno chartreux. Trombj et d’autres auteurs ont partagé le même avis. Dom Martin Ciancl, prieur de la chartreuse de Naplee (j 1804), il Imprimer dans cette ville, en 1788, une lettre In-12 en faveur du même sentiment Dom Maur Mar … bénédictin du MontrCassin, publia, en 1648, à H..me. une dissertation sur la vie et les œuvres de saint Bruno d’Asti, dans laquelle il re endlque pour cet illustre pr< lai lesermons publiés
le nom du fondateur de la Chartreuse, Cette disse) fut réimprimée en tête des Œuvre de saint I
d’Asti, publl es i Venise, en 18M, par le R. P. abbé dom 1 Bquadronl de 1 Histoil s litti rai t de la I’,
tiom Celllier ont adopté l’opinion de leurs confrères H
1 llruni, des iiteur des Œuvre » de
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légitimité de ses fiefs. Parmi les nombreuses disw. ! ’i - à cette occasion, le r<
de tain) Bruno : liaccotta di alcutn de qualt si l
iso in viirj tempi di giuditioe fuori a favore de i Padri délia Certosa di S. Stefano del Bosco, in-8 s. 1. i mais Imprimi
Voir encre (i. Vallier, Sigillographie de Tordre des chartreux et numismatique des. Bruno, in-S Montreuii-sur-Mer. 1881.
II. RÈGLE.
1o Textes et documents.
Saint Bruno n’écrivit pas de règle, parce qu il n’avait pas l’intention de fonder un nouvel ordre monastique. Mais les « observances régulières que nous suivons aujourd’hui », connue s’exprime le chapitre général de 1407, ont établies par lui, au moins quant à leur substance et certainement selon son esprit. Le caractère spécial de l’ordre des charlreux est qu’il a tiré parti des régi constitutions des instituts monastiques fondés avant le xie siècle, sans s’assujettir à aucun d’entre eux. Les chartreux ne sont, ni des basiliens, ni des augustins, ni des bénédictins ; mais leurs statuts contiennent des ol vances usitées dans ces grands ordres ainsi que dans toutes les anciennes congrégations du moyen âge. Le vénérable dom Guigues. quatrième successeur de saint Jîruno dans le priorat de Chartreuse, et rédacteur des (.notâmes de ce monastère, l’avoue : Consuetudines dotnus uostrx scriptas mémorise mandare curavimus. A quo negotio rationabitibus, ut putamus, de causis diu dissimulavimut, videlicel quia vel in episiolis B. Hieronymi, vel in régula B. Betiedicti seu in cxleris scripturis autlienticis, omnia pêne quæ Aie religiose agere consuevimus contineri credebamus. Les observances des ermites de Chartreuse, établies et réglées par saint Bruno, furent confirmées par lui dans ii s, ntretiens qu’il eut en Calabre avec son ami et successeur, le vénérable Landuin, qui était allé le consulter afin d’assurer l’avenir de leur famille religieuse. « D’après l’expérience déjà faite, les Coutumes des charlreux furent alors sanctionnées, sans être encore rédigées sous forme de règle. » Vie de saint Bruno, Montreuil-sur-Mer. 1898, p. 436. C’est en 1127. à la prière de saint Hugues, évêque de Grenoble, et de plusieurs supérieurs des ermitages déjà établis sur le modèle de celui de Chartreuse, que le vénérable dom C.uignes mit par écrit les o - de son monastère ;
il les appela Coutumes, pour montrer qu’il relatait simplement Il pratiqués des le commencement, et
qu’il n’avait pas l’intention de les imposer aux « riu nautés des autres ermitages. D’après dom Le Couteulx, le travail de dom Guigues fut contrôlé, en 1136. par les prieurs de Portes, de Durbon et de Meyriat Ces trois personnages assistèrent aussi, en 1152. au premier chapitre général tenu en Chartreuse, sous saint Anthelme. et, avec les autres prieurs présents, nt la pre mière ordonnance, dont oici la teneur : l’rimum itaque capitulorwn hanc habet contineniiam, ut diV i i mm Ecclesim offieium prortw per am.net domos uno rit » celebretur, et omîtes consuetudines atr Vt u tienn t domut, qux ail ij’sam rcliijionem pertinent, unimode fiabeantur. Cette acceptation solennelle et unanim observances de Chartreuse eut pour conséquence naturelle que, depuis cette époque, il y eut autant de chartreuses que d’ermitages I.."i 1 1 s selon la forme du m 1ère dauphinois, soumis au chapitre général et gardant la mémo observance. Li pour qu’il n’j eût pas d<