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Page:Alfred Vacant - Dictionnaire de théologie catholique, 1908, Tome 2.2.djvu/540

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chinois rit] 2390

rit.’. Doua proecrivoni et interdisons, afin qu’il n’j : > t plus aucune i qi auadilea, que

roulona i ti mi r, i condamm

I iiiin. le pape ind rd ni < loui lea misaion h « ’i d interpn ti r

autrement qu il a (ail li - ti rm< - citi - de la constitution de Clément i r enjoint, soua lea peines li v plu » ri m ui [ i aie de a ttê nou velle constitution, pour obtenir plus sûrement ce but, il prescrit à tous les missionnaires un nouveau lerment, ajoutant < celui que Clément XI leur avait déjà imposé, ii promesse de faire tout leur possible, pour que leurs néop i sent pleinement, eux aussi, .1 la

constitution de Clément M. et ne pratiquent jamais lea 1 1 rémonies permises par M » 1 Uezzabarba et condamné* par Benoit XIV. En terminant, le pape exprime 1 l’espoir que, Dieu aidant, les missionnaires chasseront de leurs cœurs la vaine crainte que par l’exacte observation des décrets apostoliques la conversion îles infidèles ne soit entravée. Celle-ci dépend en effet principalement de la grâce de Dieu, qui ne manquera pas à leur ministère, s’ils prêchent intrépidement la vérité de la religion chrétienne, aussi pure qu’ils l’ont reçue du Siège apostolique ».

Celle bulle, dont les termes sont parfois durs poulies missionnaires qui avaient autrefois défendu les rites, rencontra chez eux toute la soumission qui lui était du, -. L’un d’eux, missionnaire à Péking depuis 1739 el qui allait être nommé par l’empereur président du tribunal astronomique, écrit à son frère à Vienne, le 6 octobre ITili : « Vous demanderez sans doute quelle impression a faite ici la nouvelle constitution du pape Benoit XIV sur les rites chinois ? Je réponds, celle qu’elle devait faire. Nous l’avons reçue, nous avons juré, nous l’observerons. Et de fait il n’j a plus tant de difficultés, cette chrétienté de Chine étant presque réduite aux pauvres gens, qui eux-mêmes ont à peine de quoi manger et d : quoi se loger, bien loin d’être en état de faire des oblations et des sacrifices aux défunts leurs ancêtres, ou de leur construire des temples, n Epistolx anecdotm R. P. Augustinie comitibus Hallerstet China scriptse, à la suite de Imposturæ ccxviii in dissertationeR. P. Benedicti Cetto de Sinensium imposluris détecta et convulsée (par le P. G. Pray), Bude, 1781.

Telle était la condition des chrétiens chinois, depuis la prohibition des rites ; telle on peut le dire, elle est encore aujourd’hui, pour le plus grand nombre. Aussi bien, il y a toujours impossibilité pour un chrétien chinois, déterminé à ne pas l’aire les cérémonies prohibées, d’atteindre à aucun des -rades littéraires, sans lesquels on ne parvient pas à la considération, à la fortune et à l’influence sociale en Chine. Loin de nous la pensée d’élever l’ombre d’un récrimination contre les décisions que le Saint-Siège s’est cru obligé de prendre pour sauvegarder la pureté de la religion parmi les chrétiens chinois. Nous ne voulons au contraire que faire sentir combien l’Église catholique lient à cette pureté. Aux adversaires de la papauté, qui boni si souvent accusée de compromissions avec la superstition, de calculs politiques et intéressés dans la propagation de l’Evangile, il n’est pas de démenti plus éloquent à opposer ( pie sa conduit.’dans la controverse touchant les rites chinois.

La liste la plus complète d< b ai a 1 catli na sur la

iversedea rites chinois est d 1 rdier, Bibliotlieca

relatifs à

ir’"i’I. 2- ijur.ii, , ;, de » rite »

2 « ..in. in-s, p, (j. (m

earæti re Burtoul polémique, 1 1 roni ceux qui sont lea

inné-.u présence el

|] lits.

iveraln pontifi —, naturellement, il faut >w lui de la Propagande : Juri*

pimXi

.1 un.- part


mait a Madrid en1 la On de i nui 1. t. 11. p. 720), et l’on n’a, k on trois exemplaires,

DC4 lli| Il II.

Morale ; jésuii t. m. vi et IK1689 109 LaBil lii U

1 précieux recueil de pièces or,

ir la P I uplet, j n cureur d r. 1681-1691 ; n y trouveLi écrits échangea sur la

querelle des ritc^ qui turent rédigée durant les

rences de I 7-K 68) : dai

cl in ises s.. nt en carai -. Lit relation des

.le Canton a été < ! nnée 1 ;.r lejésuites d’usia

authentica in quibu » praxis

cietatis Jesu cin nse » aj probata est consentit I i’.

dominicaru tuilarum, quierant in China otque iUo nibscrif t, me ftrmata, in-18, s. 1.. 1700. on a aussi irnpriulemenl m 1700 li -.ie la C* de

Jésus a J.-IJ. > ! ratés et a Navarrete ; en voici les titres : Infor-Ut anUquiasima./ ; rum Slnetutum Societatis Jesu, circa ritus - la la m China, jau, „b annit 1636.r Î610 aP.l - Lyi ii, Paris (répond aux 12 < doute- : M r es) ; H. P. P. I cetta, S. J., ; Sinensi unno iGG8, in-8% Paris (répi nse aux dilua —, um ritibus politicis a Favre Pariaient**, e S. J., missionarii -a de avitaSinarumpietateprsesi Cotifudummagistrum suun

au même) ; De Sinensium ritibus politicis actæeuR I’1 esci Brancati, S. J.. apud S mnos 31 mit

Responsio apologetica ad II. P. Dominicum Savea 2 in-12. Paris. Indiquons encore, parmi les ouvrages écrits rectifier les assertions de Navarrete : R. P. Jean D G. vice-provincial de la province de Chine. Dissertatio apoloç m ritibus politù n 1680, mais pul

1700, in-12. Liège ; « Toi Sinica cum disquisitionibus

criticis, in-12. s. !.. 1700 ; Ancien* V, -…..

citant les honneurs que les Chinois rendent à Confucius et aux morts, in-12. Paris, 1700.

Le mandement de M’Maigrol et les pièces présentées par lui-même et Bon ; i cureur Chaîne t pour obtenir la confirmation du Saint-Siège - ni réunis d : ms Historia cultus varia scripta de cultibus Sinarum, inter Vicariat a Gallus aliosque missionarios, et Patres societ ni » Jet » troversis…Adjuncta appendice scriptorum Patrum S. J. de tadem controrersia, in-}> Cologne, tinuatio Mal

cultus Sinensium, .., in-- t7. « .. on |, eut Vl, j r au.

Recueil des

étrangères, et des religieux de l’ordre ique, tou chant le culte qu’on rend à la Chine au philosophe Confucius, in-12, Coli gni. 1700. i, recueil, au-si publié sous le tilre : ’- avec r idolâtrie grecq line.quïestceluidela première i pièce r, ayant pour auteur le P. Noël Alexandre, dominicain, contient, entre autr

I du P. J. F..le 1.’le ssa..le Ni, - Lui. en français et. n italien ; la Lettre > et directeurs <in séminaire des

Mission » étrangère » nu pape, .i. avec les Questions à proposer, ’, la s. < ;. du S, , ». : 1699, et.-. Les jésuites ont publié : Recueil par les PP. jésuites à la S. C. Pour répondre, ’i t’Écrit intl Questions de Li Chine, etc. in-12. s. t., 17. m. Ce recueil renierai. - :  ! Instruction ou supplique, i la s. C. du Saint-Office ;

i fait par le » PP. jésuite » le » contestations de la l I un nouvel

de M., le I, j, d autres

1 S. J., missiom.’sophia S

snii de Hittorica notitia rituum ac erremoniaru

rum, ie-. 1711.

Sur la légation.le M* il. T, mn. n. i : faut consulter avec 1