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Page:Alfred Vacant - Dictionnaire de théologie catholique, 1908, Tome 9.2.djvu/286

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mon), dans le genre d< ru sur (es nu/i

t. En voici rénumération il. In tllud *

un formai ttplens, in

hominum factus et habitu inoentus ut

-v. i « morceau <- ! conservé dans le Parislnus
il.ms le Vatopedinua H8, f-'…

d’après lequel il.< été publié par le moine Jason dans

la revue athénienne -i^-r^. 1890, t. xiii, p. 65 71. —

. numcrum talentorum in i parabola

iiden

(j. Cosiniizensis 192, 1*9 12,

/kw-. : >.M i. Ai F 831 Amorc v L' : '-'. ( 75 " 78, Pan107 v° I12v°. Après avoir examiné ce que signifie le nombre respectif des divers talents, Marc se demande, pour tinir, s’il est possible, non seule ment de cacher le talent reçu, mais encore « le le détruire. — 3. In illud evangelii : Si in Tyro et Sidone essent virtutes, qum fada suni in uobis, olim in eilieio et cinere pmnilentiam egissent. Puisque les villes susdites auraient mieux profité que les Juifs de la nce du Sauveur, pourquoi celui-ci ne s’est-i ! pas rendu chez elles ? N’y a-t-il pas dans cette abstention quelque injustice ? Telle est la question résolue par Mare dans un court opuscule que nous ont conservé . ^ 119, l’Iberitieus 388, ꝟ. 843, 1. Sur l’apparente contradiction qu’il y a entre certains conseils évangéliques et la de maintenir l’ordre social et de punir

S’il faut abandonner sa tunique à qui prend le manteau, présenter la seconde joue à qui vous a frappé sur la première, donner à tout solliciteur, pardonner soixante-dix-sept fois sept fois à qui vous a offensé ; à quoi bon garder des tribunaux et promulguer des lois ? Et si la même chose appartient a tous et à chacun, comment l'État pourra-t-il subsister ? Tel est le problème que Marc examine dans un opuscule qu’ont gardé le Cosiniizensis 192, f » 120 v°. le Parisinus 129.'. ꝟ. 84-88. le Panteleemonensis 3, 9, V ». — 5. Si une foi aussi mince que le grain de .sénevé est capable de transporter les montagnes, d’où vient que ni les apôtres ni les autres grands saints n’ont accompli un tel prodige ? et comment, d’autre part, saint Paul a-t-il pu dire : Si habuero OMNEM fidem ila ut montes transferam ? S’il faut avoir toute la foi, omnem, que devient cette foi pareille au grain de sénevé de l'évangile ? et si la foi pareille au grain de sénevé suffit, pourquoi l’Apôtre se sert-il du mot mnis ? La réponse que donne Marc à ce petit problème se trouve dans le Cosinitzensis 192, ꝟ. 71-73. dans le Mosquensis 245 (Vladimir), ꝟ. 84, et dans le Parisinus 1292, f°S7 v°-92. — 6. De fructibus Spirilus. Inc. Oi. y.xzz’y^-L-.'.c, rfpijvrai uk* 6*-.à-rô bS]Xamxov.

Courte considération conservée dans le Parisinus 1 192, i" 98, dans VIberiticus 388, ꝟ. 941, dans le Panteleemonensis 339, f » 105 v°-107 v°, et dans le Valopedinus 478, f » 108, sur lequel a été faite l'édition de ce mort eau parue dans le yj(tjTr r c. 1889, t. xii, p. 311, 342. 7o Questions philosophico-lhéologiques.

Semblables comme procédé littéraire aux questions d’exégèse qui viennent d'être signalées, les problèmes examidans les opuscules que nous allons mentionner nt bien distincts par leur objet ; ils roulent le plus souvent sur un point d’ordre purement moral, tout en partant d’une difficulté, soit de philosophie, de théologie. Nous les grouperons donc sous un même titre, l’auteur ne s'étant point soucié dans ses

oppemenls de respecter scrupuleusement luimême les domain. tifs de l’une et de l’autre
ce.

1. De angelis contra Argyropuli sententiam. Inc. ixpûTaTov.-/'. £81£80xov. Dans ce

traite. M. ne a voulu prouver contre ArgyropOUlOS, que, si Lucifer est tombe, ce n’est point pour n’avoir

pas imploré.le i Heu la lumière ( ou la màc ». mais sim

plement par négligence et par làchetc. car ton

. Indistinctement, assure Marc, oui participe dès l’origine a la lumière divine. Le texte se trouve dans VAmbrosianus 6 le Cosinitzensis t.'. i 29

33, VIberiticus, le Parisinus 1292, i" 58

lia été publié comme une œuvre de Georges Scholarios, par Sp. Lampros dans 'Apia>po7roûXeia, Athènes, 1908, p. px'-pxs'.

Ld reuerendum hieromonachum Isidorum de vlist termina. lue. OÛYaÙTOÇ JjltépeiÇ, & [iOCxàptC SeaiCOTOC. Les limites de la vie humaine sont elles fixées d’avance

par Dieu, ou dépendent elles simplement des lois de la nature, sans aucune Intervention de la prédétermination divine ? telle est la question qu’Isidore avait posée a Marc. Celui ci lui repond par une distinction entre la prescience divine, dont le caractère est absolu, et la prédétermination, qui n’a (prune valeur relative. Taudis que rien n'échappe a la prescience divine, Dieu ne détermine que ce qui est bon. Par suite, il n’y a que la vie et la mort des justes qui soient déterminées par Dieu, et c’est d’eux seuls qu’il est écrit que l’as un cheveu ne tombera de la tête sans la volonté divine. Assertion erronée qu’un contemporain de Marc, Georges Scholarios, n’a pas hésité a réfuter assez vivement, dans son troisième traité de la Providence, où il nous fournit par surcroît d’intéressants détails sur la conférence tenue à ce propos en présence de l’empereur. P. G., t. clx, col. 1127. Voir la réfutation d’un autre contemporain, Théophane de Médée, dans S. Eustratiadès, KxtxXoyoç wv xcoStxœv ttj : [isylaxr^ Axïcaç TÎje. hi xtô àyîco opsi, Paris, 1925, p. 429, 430. De nombreux mis. nous ont conservé le texte de ce traité de Marc ; tels sont : V Alheniensis de la Chambre des députés 229, f » 1, le Cosinitzensis 192, f » 33, le Monacensis 29, f » 160 v°-165, le Mosquensis 245, i° 145, le Matritrnsis 77, le Philippicus 1483, ꝟ. 80-85, les Parisini 'JG3, î° 313 v », et 2075, f » 237, le Scorialensis III. Q. 2, f 130 v°-134 v°. Nous ne mentionnons pas ceux de l’Athos. Publié par Boissonade dans les Anecdota nova, Paris, 1814, p. 349-362, le traité a été reproduit par P. G., t. clx, col. 1193-1200.

3. De resitrrectione. Inc. Tô -rîj ;  ; âvaoTaæcoç S6YU.a jrapà ixsv "EXX7 ; ai.v oùSsvôç 7)ï[ WT0 Xàyou. Après avoir affirmé contre les païens et quelques sectes juives le dogme de la résurrection, Marc examine les difficultés que ce dogme soulève au double point de vue de la raison et de la foi, tant par rapport au composé humain qu’en considération de l'état d’immortalité dans lequel Dieu a créé le premier homme. D’autre part, comment concilier la vérité du dogme de la résurrection avec le fait de la décomposition totale du corps survenant après la mort ? Le traité ne manque pas d’intérêt ; on le trouve dans les mss. : Cosinitzensis 192, ꝟ. 47, Monacensis 29, f » 165-176 v », Parisinus 1292, ꝟ. 67-75, Scorialensis III. Q. 2, ꝟ. 127-130.

4. Ad reucrendissimum Dionysium hieromonachum de dominico et divino sanguine. Inc. 'EÇnrniievov fjS"7)Tcj) u.eyàXcp na-rpt T^r ; (oziu> tcô 6eoX6ycp. Marc étudie dans cet opuscule le problème de la rédemption ; il se demande à qui le sang du Sauveur a été directement offert et comment ce même sang est devenu la rançon du genre humain ? Mss. : Cosiniizensis 192, f » 12-15, Cyprins 31, f » 183-185, Iberiticus 388, f » 902, Parisinus 1292, ꝟ. 78-82.

.". De anima brulorum quæstio et responsio. Dans cet opuscule, Marc se pose la question suivante : Si l'àme humaine est immortelle parce qu’elle se meut d’elle-même, pourquoi les âmes des bêles, qui se vent aussi d’elles-mêmes, ne sont-elles pas également immortelles ? C’est que, répond Marc, l'âme humaine,