me répétait souvent, au temps de mon enfance, et dont je n’ai jamais cessé de bien me trouver :
Rigide comme un cyclamen
Chevauchez votre cycle. Amen !
J’évite donc de me pencher sur le guidon et tout le haut de mon corps tend, sans affectation, à se rapprocher de la verticale.
Voilà, mon cher Allais, les quelques détails que vous avez sollicités de mon obligeance bien connue et de ma courtoisie dont l’éloge n’est plus à faire.
Pour les renseignements complémentaires, consultez mon prochain ouvrage (sous presse) : Les Confessions d’un enfant du cycle.
— Je n’y manquerai point.
— Mais ce record n’est pas le seul que j’émets la prétention de détenir. J’ai pioché sérieusement et réussi, à moins de réclamations ultérieures, celui du gnon.
— Le record du gnon ?
— Parfaitement !
Et Cap s’exprime de la sorte :
« Pour un cycliste, savoir se tenir sur sa machine est d’une bien petite importance ; mais savoir en tomber en possède une plus grande.