Page:Allais - Le Parapluie de l’escouade.djvu/163

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souvent à cette petite scène, et l’envie me prit d’y assister encore.

Je reconstituai les détails.

Un mardi, cinq heures, rouleau de musique, leçon de chant, probablement, ou de piano.

Et le mardi d’après, un peu avant cinq heures, je me réinstallais à la pâtisserie.

Vaine ne fut point l’attente.

Bientôt, elles entrèrent.

L’institutrice grignota de nouveau ses gâteaux secs.

La jeune fille fit disparaître, comme par enchantement, ses quatre madères et ses six babas au rhum.

Je les suivis.

Hé parbleu, je ne m’étais pas trompé.

Elles pénétrèrent dans une maison qui portait, au coin de sa porte cochère, une