Page:Allais - Le Parapluie de l’escouade.djvu/196

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daire, aux ombres des plus grands macchabées de l’humanité.

Maintenant que vous connaissez le jeune duc comme si vous l’aviez fait, laissez-moi reprendre le fil de mon récit.

— Ah ! mon pauvre ami ! s’écria-t-il, si tu savais ce qui m’arrive !

— Que t’advient-il, ô duc ?

— Une chose assez déplaisante en elle-même, mais dont la portée dépasse tout ce qu’on a constaté jusqu’à présent en matière de matérialisation et de correspondance psychiques. Tu connais les expériences du lieutenant-colonel de Rochas ?

— Par ouï-dire.

Au cas où, par impossible, quelqu’un de mes lecteurs ignorerait les récentes expériences du lieutenant-colonel de Rochas d’Aiglun (Eugène-Auguste-Albert), officier