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Page:Allais - Le Parapluie de l’escouade.djvu/219

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POSTHUME


J’allais régulièrement tous les soirs, à cette époque, dans un petit café de la rue de Rennes, où je rencontrais une dizaine de camarades, étudiants ou artistes. Parmi ces derniers, un grand jeune garçon, sculpteur, très doux, même un peu naïf. On l’appelait, je n’ai jamais su pourquoi, le Raffineur.

Au bal Tonnelier, le Raffineur, un soir,