Page:Allais - Ne nous frappons pas.djvu/30

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phénomènes sur la côte anglaise opposée (Ouest) ne sont pas non plus très rassurants, car l’érosion du littoral dépasse, sur certains points, une moyenne de cinq pieds par an. »

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Et le Kent Messenger termine par cette réflexion philosophique :

« Il serait véritablement navrant que la mer, défense naturelle de l’Angleterre, arrivât à devenir son mortel ennemi et son tombeau, peut-être. »

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Comme nous ne verrons pas, vraisemblablement, cette heure bénie, chantons avec le poète :


On n’en finira donc jamais
Avec ces n… de D… d’Angliches
Faudrait qu’on les extermin’rait
Et qu’on les réduise en Sandwiches !
etc., etc., etc.