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à la cure de Hétu (près Monvieux) et à son titulaire.
Aussi, à chaque heure de la journée, l’entendait-on gémir :
— Mon Dieu ! qu’est-ce que je deviendrais si l’abbé mourait ?… Où irais-je si l’abbé mourait ?… Je n’aurais plus qu’à me jeter à l’eau si l’abbé mourait !
Si l’abbé mourait, par-ci. Si l’abbé mourait, par-là… Tout le diocèse retentissait de cette sempiternelle antienne.
Le nom en resta au pauvre serviteur de Dieu, et bientôt on ne l’appela plus que l’abbé Mouret.
Ainsi qu’il était facile de s’y attendre avec un tel sobriquet, l’abbé Mouret ne tarda pas à commettre une faute, la faute bien connue sous le nom de faute de l’abbé Mouret.
L’infortunée Rosalie Chamel n’y coupa