La nuit vient : pas de Jip !
Ah ! mon pauvre monsieur, la nuit que j’ai passée ! Je n’en souhaiterais pas une semblable à mes pires ennemis.
Dès le lendemain, on va chez l’imprimeur et on lui commande des tas d’affiches : « Il a été perdu une petite chienne, etc., etc., répondant au nom de Jip, etc., etc., le signalement, etc., etc., l’adresse, etc., etc., récompense, etc., etc., » enfin, tout ce qu’il fallait pour retrouver cette petite horreur. (Baisers frénétiques comme plus haut.)
En deux heures, toutes ces affiches étaient collées sur les murs de Paris (je croyais même que c’était plus long à exécuter, ce travail).
La journée se passe, nulle Jip ! Le soir tombe, nulle Jip ! Sur nous la nuit se prépare à étendre ses voiles, pas plus de Jip que sur la main !
Tout à coup, je pousse un cri d’horreur !