Page:Allais - Rose et Vert-Pomme.djvu/111

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Quelques fragments de ladite correspondance :

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« Voici que, tel notre vieil ami Deibler, les jours raccourcissent, mon cher Allais, et, je comprends le désir qui te hante, au moment où tu vas rentrer à Paris, de savoir quelles sont les nouvelles modes, les récentes créations de nos grands couturiers, en un mot, ce qu’on devra porter cet hiver, sous peine de passer pour l’avant-dernier des conducteurs de bestiaux.

» Côté des hommes : Nulle transformation palpitante, sauf en ce qui concerne le chapeau haut de forme, lequel, désormais, sera à claire-voie, pour permettre à nos élégants d’en faire une volière où prendront leurs ébats des oiseaux multicolores.

» Côté des dames, autre barcarolle :